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A.H.E.O – Afro-Haitian Experimental Orchestra
Sept mille kilomètres d’océan froid séparent l’Afrique de l’Ouest d’Haïti. Mais la musique peut couvrir cette distance en un battement de coeur, traverser l’Atlantique pour … Read More
Kindred Spirits
Kindred Spirits est le fruit du DJ et promoteur d’Amsterdam, KC le Funkaholic, nom de son Night Club à Paradiso. Il monte le label avec … Read More
Fanga
Depuis une dizaine d’années, le collectif Fanga évolue à la croisée de l’afrobeat, du jazz et du funk, jouant une musique éminemment spirituelle. Fanga signifie … Read More
Final Coil • Homecoming • Vestige
Pour les fans de… Tool, Cult Of Luna & Amenra
Final Coil (Royaume-Uni) – Post-metal / prog rock
Final Coil envahit Paris pour défendre leur épique 3e album, The World We Inherited, sorti en début d’année. Produit par Russ Russell (Dimmu Borgir, Napalm Death, Wildhearts), et représenté par un artwork d’Andy Pilkington (Judas Priest, Skindred), l’album a récolté des critiques fantastiques de la presse nationale et internationale. The World We Inherited est le 3e et dernier volet de la Persistence Trilogy de Final Coil.
En dehors de leurs prouesses en studio, le groupe a été acclamé partout pour l’énergie et la férocité de leurs performances live, notamment en support de grands noms comme Shonen Knife et Mark Ramone.
https://www.facebook.com/finalcoil
https://www.instagram.com/finalcoil/
https://www.youtube.com/@FinalCoilOfficial
https://finalcoilrock.bandcamp.com/
Homecoming (Paris) – Post-whatever metal
En poste depuis 2017, le quatuor parisien post-metal HOMECOMING expérimente autant qu’il navigue entre les styles, puisant son inspiration dans les bacs sludge, grunge, 90’s alt-rock ou metal progressif. La clé du succès de cette fusion improbable ? Une cohérence sans faille portée par une recette miracle : riffs ébouriffants, incartades vocales mélodieuses ou ultra violentes, batterie incontrôlable, ainsi que tout un arsenal d’idées meilleures les unes que les autres qui contribuent à créer un paysage sonore hors norme.
https://www.facebook.com/homecomingmusic
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https://www.youtube.com/@homecoming_band84
https://wearehomecoming.bandcamp.com/
Vestige (Paris) – Modern metal
Vestige, formé à Paris fin 2022 par son compositeur Théodore Rondeau, est un groupe de metal moderne qui marque son identité par des teintes shoegaze, tantôt ambiant et mélodique, tantôt violent et torturé.
Signé chez Season of Mist et Base Productions avant la sortie du premier album, Vestige sort Janis le 6 septembre 2024. Après un été 2024 marqué par leurs premiers concerts, et les sorties (très bien reçues par le public et les médias) de leurs 3 premiers singles avec notamment Neige d’Alcest en guest, le groupe se lancera définitivement sur scène avec une première série d’une quinzaine de dates sur la fin de l’année 2024. Progression à suivre de près sur 2025…
https://www.facebook.com/vestigetheband
https://www.instagram.com/vestigeband?igsh=YXBkcWhzdG5zeXZq
https://youtu.be/GEhDyObw8Ec?si=0JuwoqimjuPBzMiC
https://vestigesom.bandcamp.com/album/janis
Visuel : Jo Riou – https://www.instagram.com/jo_riou?igsh=cnpzdGNtNzZnNHh3
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Samedi 14 décembre 2024
Entrée gratuite
• Ouverture des portes à 19h00
• Si vous êtes témoin ou victime d’une agression, vous pouvez alerter le personnel du bar ou si vous préférez, vous pouvez nous écrire à cette adresse : communication@supersonic-paris.fr
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SUPERSONIC
9 rue Biscornet, 75012 Paris
Métro Bastille (sortie rue de Lyon)
Tarifs : Gratuit
Ne me libérez pas, je m’en charge !
Un spectacle aux allures de comédie musicale dans lequel trois chanteuses et un orchestre racontent l’expérience singulière et pourtant si peu relayée, des femmes de l’immigration maghrébine en France
Sur une idée originale de Méziane Azaïche, Ne me libérez pas je m’en charge ! s’inspire d’un constat : plus invisible que le travailleur immigré, il y a sa femme.
Dans les années 40 et 50, les chanteuses de l’exil, Najat Aatabou, Hanifa, Cheikha Remitti entre autres, accompagnent le parcours des femmes immigrées, leurs combats pour l’émancipation féminine mais aussi leurs combats contre le racisme et les discriminations que subissent les immigrés en France.
À travers des musiques qui ont accompagné plusieurs générations des deux rives de la Méditerranée, ce spectacle aux allures de comédie musicale met en lumière l’expérience singulière, et pourtant si peu relayée, des femmes de l’immigration maghrébine en France.
Fort de son succès depuis sa création en 2021, Ne me libérez pas je m’en charge ! revient pour 5 représentations les 14, 15, 22, 28 & 29 décembre 2024 au Cabaret Sauvage.
DANS LA PRESSE :
« Sur scène se produiront un orchestre et trois chanteuses, dont Tanina Cheriet, fille du célèbre chanteur Idir. Décédé en 2020, lors du confinement, Idir était un ami de Méziane. Ce spectacle est aussi un hommage à cet immense artiste. » – L’Humanité
« Pendant deux heures, on en prend plein les yeux et les oreilles, ou comment passer un bon moment tout en se cultivant. » – Le Courrier de l’Atlas
« Une première réussie. » – Télérama
DISTRIBUTION :
Conception & Mise en scène : Méziane Azaïche
Co-mise en scène : Géraldine Benichou
Écriture : Naïma Yahi
Direction musicale : Nasredine Dalil
Comédie & chant : Tanina Cheriet
Chant : Nadia Ammour
Chant, guitare : Samia Diar
Musique : Amar Chaoui (derbouka, percussions, chœurs), Abdenour Djemaï (guitare, mandole, chœurs), Rafik Korteby (claviers), Hichem Takaoute (basse, chœurs), Sandra Hamaidi (flûte)
Vidéo : Aziz Smati
Costumes et décors : Annick Lebedyk
Tarifs : Regular : 18€
Billetteries :
Shotgun
ZAOUI [Le Makeda]
“La musique, c’est un besoin primaire chez moi. J’ai besoin d’écrire. Pour mon équilibre mental, la musique a été essentielle. Sans elle, il y a plein de choses que je n’aurais pas su affronter »
Exutoire. Et c’est encore euphémisme. Il suffit de s’entretenir quelques instants avec Zaoui pour comprendre que chez lui, la musique est viscérale. Et il suffit d’écouter son premier album solo, Pulsations, pour deviner l’intensité des combats intérieurs chez l’ancien Thérapie Taxi. “Ce premier album est très important pour moi. J’ai rencontré plusieurs labels quand Thérapie Taxi s’est arrêté. Tous voulaient un premier album direct. J’ai dit non. Je voulais absolument d’abord faire un EP. Je ne me sentais pas prêt, j’avais peur, des doutes. Et un premier album, c’est un marqueur très fort dans une carrière et il ne faut pas te rater.”
Zaoui ne veut rien galvauder. Il sort donc en juin 2022 l’EP “Mauvais Démons“ chez 3ème Bureau et travaille trois années sur ce premier album qui se nomme donc “Pulsations”. Et ce pluriel n’est ici pas anecdotique. Ça gicle de partout. C’est aussi le titre de l’ultime chanson du disque et l’une des premières composées, à un moment où la vie de Zaoui n’était pas franchement un long fleuve tranquille. “C’était possiblement le moment le plus compliqué pour moi, le plus fatidique. J’avais perdu ma mère et mon groupe coup sur coup, je n’avais pas de label, j’étais dans une période de doute très intense, j’avais très mal en fait, c’est la chanson la plus personnelle de l’album. Là, je ne passe pas par quatre chemins, c’est moins imagé, c’est moi. Et il était logique finalement que l’album s’intitule ainsi…”
On ne va pas citer encore la fameuse sentence de Nietzsche mais il y a beaucoup de ça dans ce disque rédempteur. Un cœur bat encore, malgré le chaos, malgré la douleur. Le sang circule encore, il alimente, il pulse. “Il reste encore des pulsations en moi” chante-t-il. Cri du cœur, oui. La vie, la vie, toujours la vie. Renaissance. Sur ce disque sans drapeau blanc, des chansons se répondent. Zaoui aime autant les titres feelgood, la pop solaire que les chansons écorchées. Il peut chanter des paroles délicieusement provocantes comme des mots d’une profondeur abyssale. Le décalage entre ses mélodies qui prennent par la main, capables de noircir bien des pistes de clubs et sa capacité à creuser dans ses tripes est assez saisissante. Qu’il chante sa bite ou la souffrance, ses virées nocturnes débridées ou ses fantômes, il vise toujours juste. En tout cas ne triche pas. Chez Zaoui, l’anecdotique flirte avec l’universel. L’instant présent avec l’éternité. C’est sa force.
Zaoui est un homme et comme tous les hommes, il est multiple. C’est Docteur Jekyll et Mister Hyde, la légèreté et la tourmente : à la fois sale gosse et père attentionné.
Vincent Duteuil, son guitariste sur scène, est le co-réalisateur du disque, enregistré lors de différentes sessions à Paris, dans un loft du côté de Stalingrad. Ilan Rabaté, son batteur, a aussi prêté main forte. 30 chansons ont vu le jour. Zaoui en a gardé 14. Il n’a rien précipité, a pas mal tourné. Il a repris goût à l’aventure.
La pochette, conçue par l’artiste Fifou, dit beaucoup de ce disque. Sorte de préface annonciatrice. Les nouvelles chansons de Zaoui sont une mise à nue, elles dévoilent une pop à la mélancolie lumineuse, avec des sourires en coin et des larmes qui creusent les roches de l’âme. C’est important, l’album sera accompagné d’un petit livre. “Parfois, j’ai peut-être un peu souffert de faire de la musique un peu trop pop et de ne pas avoir le bon format pour développer certains traits de ma personnalité. Écrire, c’est une manière de compléter mon profil. Et pour marquer le coup du premier album, de l’acte créateur de ma carrière solo, j’ai pensé à ce petit bouquin pour accompagner le vinyle.” Ce livre est bien une excroissance, un prolongement de son disque. Une pulsation sous prose. Il permet d’entendre l’album différemment. Zaoui ne s’interdit pas d’en publier une version plus fournie en 2024. À suivre donc.
“Aïe” est son morceau préféré du disque. L’album ouvre sur “Destin”, pop aux accélérations vortex, où Zaoui accroche ses rêves dans le noir et regarde droit devant. Sur le titre “Comme des Sauvages”, sorte de new wave sans poussière aux synthés spatiaux, aussi cool qu’introspectif, Zaoui convoque le cœur et les corps. Avec “Stigmate”, il perpétue la tradition de la chanson heartbreak, jette un coup d’œil dans le rétro mais avance, coûte que coûte.
Tarifs : Tarif réduit : 23.30€ / Tarif plein : 25.30€
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