Ce vétéran ghanéen de l’afrobeat nous ressert avec une verve intacte ces polyrythmies d’Afrique de l’Ouest, sans âge, qu’il brassa dans les seventies à partir du highlife, dans une version funky bien à lui, moins révoltée qu’à Lagos, plus joyeuse, aussi, avec un groove sensuel et sautillant irrésistible. (Télérama)
Bouillonnement des cuivres, furieuses polyrythmies, choeurs hypnotiques : voilà qui nous rappelle d’où vient (en grande partie) l’afrobeat de Fela : du highlife du Ghana voisin, né dans les années 30 de la réappropriation du jazz américain par les musiciens de l’Afrique de l’Ouest anglophone.

Depuis plus soixante ans, Ebo Taylor, guitariste, chef d’orchestre et compositeur d’Accra, a participé à toutes les révolutions musicales de son pays. A 81 ans, il n’a rien perdu de sa pertinence, et il a quelque chose de sorcier dans sa façon de malaxer soul, funk, fanfare et tradition.

Nouvel album en Février 2018
Enregistré à Amsterdam avec Justin Adams (robert plant, tinariwen,…) et la fine fleur de la nouvelle génération de musiciens ghanéens, cet album sonne comme le chef d’oeuvre du maitre, l’accomplissement d’une longue et riche carrière. Immanquable !

= Ils en parlent =
Le génie africain à l’état pur. (Les Inrocks)

le guitariste ghanéen, légende de la musique africaine, bénéficie d’une seconde naissance et met le feu aux poudres! (L’Express)

Il est grand temps de donner la place qu’il mérite à ce géant des musiques d’Afrique. (Libération)

Parmi les légendes africaines encore en activité, Ebo Taylor est indéniablement l’une des plus flamboyantes. (Vibrations)

Tarifs : Tarif New Morning : 25.90€

Billetteries :
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